Ed Yardeni, président de la société de recherche Yardeni, a écrit lundi que les inquiétudes de la Réserve fédérale (FED) concernant les risques d'inflation à la hausse pourraient finalement l'emporter sur les appels à une baisse des taux en septembre. Il a souligné que, bien que le remaniement du personnel à la Réserve fédérale (FED) ait élargi le camp des partisans de la politique monétaire accommodante, la position potentiellement ferme du camp des faucons ne doit pas être ignorée, car on s'attend à ce que les distorsions tarifaires sur l'emploi s'améliorent rapidement, tandis qu'une baisse des taux pourrait exacerber la pénurie sur le marché du travail, augmentant ainsi les pressions inflationnistes à la hausse.
Quoi qu'il en soit, la décision de la Réserve fédérale (FED) de baisser les taux d'intérêt en septembre dépendra en grande partie des rapports d'inflation CPI de juillet et août publiés avant la réunion du FOMC des 16 et 17 septembre. Yardeni prévoit que, en raison des droits de douane, ces données vont "chauffer". Il s'attend également à ce que le rapport sur l'emploi non agricole d'août, publié au début septembre, montre une amélioration continue de l'emploi (comme en juillet) 1 car la "tempête tarifaire" s'est atténuée. Si tel est le cas, le FOMC pourrait voter à nouveau pour suspendre la baisse des taux, bien que cette fois-ci, il y aurait au moins 3 dissidents, contre 2 lors de la dernière réunion.
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Ed Yardeni, président de la société de recherche Yardeni, a écrit lundi que les inquiétudes de la Réserve fédérale (FED) concernant les risques d'inflation à la hausse pourraient finalement l'emporter sur les appels à une baisse des taux en septembre. Il a souligné que, bien que le remaniement du personnel à la Réserve fédérale (FED) ait élargi le camp des partisans de la politique monétaire accommodante, la position potentiellement ferme du camp des faucons ne doit pas être ignorée, car on s'attend à ce que les distorsions tarifaires sur l'emploi s'améliorent rapidement, tandis qu'une baisse des taux pourrait exacerber la pénurie sur le marché du travail, augmentant ainsi les pressions inflationnistes à la hausse.
Quoi qu'il en soit, la décision de la Réserve fédérale (FED) de baisser les taux d'intérêt en septembre dépendra en grande partie des rapports d'inflation CPI de juillet et août publiés avant la réunion du FOMC des 16 et 17 septembre. Yardeni prévoit que, en raison des droits de douane, ces données vont "chauffer". Il s'attend également à ce que le rapport sur l'emploi non agricole d'août, publié au début septembre, montre une amélioration continue de l'emploi (comme en juillet) 1 car la "tempête tarifaire" s'est atténuée. Si tel est le cas, le FOMC pourrait voter à nouveau pour suspendre la baisse des taux, bien que cette fois-ci, il y aurait au moins 3 dissidents, contre 2 lors de la dernière réunion.